
Découvrez cette semaine notre répertoire des producteurs locaux du Sud-Gironde proposant de la vente directe. (©Le Républicain)
Terre de vin mais aussi de bonne bouffe, le Sud-Gironde regorge de producteurs locaux. C’est simple, il n’existe pas une commune sans son vigneron ou son éleveur. Et ils sont nombreux à proposer leurs produits en vente directe à la ferme.
Cette semaine, Le Républicain Sud-Gironde consacre son dossier à ces bonnes adresses de la vente directe. Un répertoire 100% local qui montre l’étendue de nos richesses dans ce domaine. À consommer sans modération, évidemment.
À cette occasion, la rédaction est allée à la rencontre de la famille Carraz dans sa ferme-auberge à Gajac qui pratique la vente directe et propose des produits du terroir. Saucisson, boudin, rôtis, pâtés, confits… Le compte est bon, et le tout est en bio.
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La Une du Républicain Sud-Gironde du jeudi 25 avril. (©Le Républicain)
Elle apprivoise un silure dans le Réolais

À Fontet, Marielle a réussi à apprivoiser un silure, qu’elle appelle Maurice, qui vit sous son bateau. (©Le Républicain)
À Fontet, Marielle a apprivoisé un silure, qu’elle appelle Maurice, qui vit sous son bateau.
Si la Réolaise avait peur de ce poisson mesurant plus d’1,50 m, elle a défié ses préjugés… et Maurice est devenu son ami :
J’ai été malade pendant deux ans et il m’a beaucoup aidée pendant la guérison. Je passais mon temps avec lui et cela m’a permis d’oublier la souffrance. C’est un peu comme mon docteur pour le mental
Le pouvoir des fleurs en famille

La belle histoire de Marie-Claude Deloubes et Ophélie Murat, mère et fille, qui ont lancé ensemble en 2001 une fleuristerie, à Langon (©Le Républicain)
À Langon, dans le centre-ville, Marie-Claude Deloubes et Ophélie Murat forment un sacré duo.
Les deux fleuristes, mère et fille, avaient fait le pari de créer leur entreprise, en 2001, sur l’idée d’Ophélie qui rêvait de travailler autour des fleurs.
Pour sa fille, une mère est capable de tout. Et pour Ophélie, Marie-Claude a entrepris un virage professionnel après 26 ans dans le secrétariat. Une belle histoire qui dure et qui est à découvrir cette semaine dans les colonnes du Républicain.